A l'exception d'une pâleur facilement masquée et de la froideur inévitable de sa peau, Josh ressemble à n'importe quel norme, puisqu'il a eu la chance d'être réanimé quelques heures seulement après sa mort à la demande du président de son équipe. La plupart des gens se laisseront berner (exception faites de ceux qui ont une ouie, un odorat, et/ou une sensibilité magique au-delà des sens humains standards).

Si physiquement Josh n'a subi aucun dégât, ses réflexes ne sont plus les mêmes. Ils l'ont longtemps empêché de jouer. Déprimé par cette fatalité durant ses premières années de non-vie, il a rapidement adopté le brain juice lorsque le produit a été commercialisé et il en consomme en quantité industrielle. Depuis, Josh s'entraîne. Malheureusement, la compétition à haut-niveau est interdite aux outres. Ce n'est pas pour plaire au jeune mort vivant, qui fait depuis peu parler de lui tandis qu'il tente d'inciter ses anciens boss à créer de nouveaux postes de joueurs professionnels, dans de nouvelles catégories, adaptées aux joueurs dôtés de capacités physiques surnaturelles.

Joueur de baseball très connu, Josh a subi un grave accident et en est mort. On l'a certes réanimé, mais il n'a pas récupéré son ancienne vie pour autant. L'ex-athlète de haut-niveau ne manque à cela près de rien comme il vit grâce à la somme d'argent colossale qu'il a gagné pendant ses années de gloire. Il est aussi équipé du Digital Angel.

Laissée libre

Laissés libres

Zombi de son état, cette sans domicile fixe est une vendeuse de fleurs ambulante, principalement dans le Walhalla. Mais son visage d'ange dissimule bien des secrets : en effet elle est l'indic principale du BIAS, qui vient la consulter chaque fois que que ses agents ont besoin de renseignements sur la pègre. En effet, les gens on tendance à oublier la présence d'une Zombi sdf, ce qui lui a permis de surprendre bien des secrets.

Le Doc est l'un de ces zombis qui a eu la chance d'être réanimé presque immédiatement après sa mort. Résultat ? Sauf la petite odeur de chair périmée (par ailleurs très ténue) qu'il traîne dans son sillage, et la lenteur de ses gestes, par ailleurs soignés de sorte à paraître contrôlés malgré le handicap, on ne voit pas vraiment qu'il s'agit d'un cadavre. Le blanc de ses yeux - qu'il a noisette - a peut-être un peu jauni, mais c'est plus probablement du fait de la maladie qui a engendré sa mort que de la nécrose inexistante qui a suivi. Il a le teint un peu jaune, pour les mêmes raisons, mais au pire, cela cache sa pâleur cadavérique. Ses longs cheveux sont bruns. Son visage, souvent inexpressif. Difficile de dire si cela vient de son caractère, ou d'un manque de tonicité de ses muscles faciaux.

Le Doc refuse d'utiliser le Brain Juice, produit issu d'une firme concurrente à la sienne. Il fera d'ailleurs tout pour vous prouver qu'on peut très bien faire sans, utilisant son exemple personnel - et il s'est en effet très bien adapté à son agilité réduite, qu'il compense par des gestes plus lents, plus posés, plus réfléchis. C'est un personnage très secret, qui ne parlera jamais de lui. En dehors de ses pseudo-conférences données ici et ailleurs visant à convaincre les zombis de se faire poser le Digital Angel, l'homme est taciturne, peu causant.

Ce médecin réanimé depuis quelques années est employé par la Génosis Corp pour administrer à ceux qui le désirent le "Digital Angel". Il assure régulièrement des permanences au Zombiland Club afin d'informer ceux qui le souhaitent. Il est bien sur pourvu lui même du Digital Angel !

On dit qu'il serait mort d'un problème de foie, ce qui lui vaut son teint très atypique. On en sait peu sur son vodoun, si ce n'est qu'il fait lui-même partie de la Genosis Corp, et aurait participé activement à la conception du Digital Angel. Nul ne saît exactement ce que le Doc fait de son plein gré, et ce qu'il est forcé d'accomplir.

De nombreuses rumeurs courent à ce sujet. Beaucoup disent que c'est probablement pour ça qu'il se montre si mystérieux, si peu abordable dans le privé. De son vivant, on dit qu'il était bien plus agréable à vivre. Après, les rumeurs sont ce qu'elles sont... Il ne serait pas le premier zombi à mal vivre sa réanimation.

Très agréable. Après tout, elle exerce comme mannequin. Elle ne présente que peu de traces de zombification.

Laissés libres.

Cette jeune femme était mannequin avant de décéder dans un accident de voiture. Réanimée, elle continue de défiler et de poser, faisant des envieuses chez les trépassées comme chez les vivantes, pour la marque « Belle Morte ».

Tatouages, écarteurs, piercings. Colorado n'est pas une personne qui aime se donner l'air sage. par ailleurs les normes lui passent au dessus de la tête, son style vestimentaire est donc très libéré.

Colorado est le genre de personne qui ne fait jamais rien à moitié, mais plutôt tout à l'extrême. Intense dans tout ce qu'il fait, il vi(vai)t et respir(ait) par et pour les sensations fortes.

Avant de décéder à la suite d'une mauvaise chute dans les escaliers, Colorado Smith était un athlète de haut-niveau, qui avait gagné plusieurs médailles au pentathlon des jeux olympiques d'été. Sa mort malencontreuse avant une grande épreuve sportive a poussé son entraîneur et ses sponsors à le réanimer, afin qu'il puisse continuer de concourir.

Devenu zombi, Smith eût beaucoup de mal à s'adapter à sa nouvelle condition. Le frisson qui lui parcourait l'échine lorsqu'il disputait une épreuve, le goût merveilleux de la victoire et l'envie de repousser les limites de son corps toujours plus loin...tout cela avait disparu.

C'est ce qui le poussa à chercher des expériences toujours plus intenses. Il pratiqua plusieurs expériences extrêmes qui auraient coûté la vie à n'importe quel être humain mais que sa nouvelle condition lui permettait : saut à l'élastique sans élastique, escalade de l'Everest à mains nues... c'étaient les seules choses qui lui permettaient de ressentir encore un semblant de joie et d'excitation.

Au bout d'un certain temps, et avec l'aval de son vaudoun, il créa le Zombiland Club, permettant ainsi à d'autres zombis de connaître les joies des sports à risque.

Albert est un zombi, à n’en pas douter : son allure de joli cadavre ambulant et le doux parfum de chair en décomposition l’accompagnant sont là pour le prouver.

Tête en l’air au sens le plus littéral du terme, ce qui lui a valu le surnom d'Albert “La Misère”, il ne se passe pas une semaine sans qu'il n'égare un bras ou une jambe quelque part dans la Nouvelle-Orléans. Aussi, les rues du Quartier Français sont souvent placardées d'affichettes demandant “AVEZ-VOUS VU CE MEMBRE ?”, suivi d'une photo d'une main ou d'un pied, souvent restés coincés dans un arbre ou dans un endroit étriqué.

Très loin de se plaindre de sa nouvelle condition d’outrepassé, Albert préfère profiter de son nouveau corps à l’épreuve des pires tortures.

Voyant sa résurrection comme une chance et non une malédiction, il n’est d’ailleurs pas rare de le voir se moquer ouvertement de son apparence ou de ses odeurs ; demandez-lui de vous serrer la main, il pourrait bien se l’arracher pour vous la tendre. D’ailleurs, très généreux dans l’âme, il est fréquent de croiser ses offres de location, proposant les services d’un bras, d’une jambe, ou d’un oeil pour une petite somme. Par exemple, pour ceux qui ont toujours rêvé d'un troisième bras pour se gratter le dos, ou pour ceux qui ont besoin d'aller jeter un oeil quelque part (Albert peut toujours voir par un de ses yeux si il est détaché de son corps).

Ancien artiste de cirque, il continue à travailler dans le domaine du spectacle, prêt à effectuer toutes les cascades les plus osées. Se faire scier en deux par un magicien ? Pas de problème. Faire l'homme-canon ? Avec plaisir ! Récemment, il a mis au point un numéro où il jongle avec plusieurs balles et sa propre tête. Il a cependant dû couper court lorsque celle-ci roula sous un meuble, y restant coincée pendant plusieurs jours. Cette belle capacité à pouvoir détacher ses membres est notamment due à plusieurs nécroses restées au niveau de ses articulations : mort démembré suite à un tour ayant - très - mal tourné, et son résurrecteur étant peu précautionneux et animé par l’idée d’arranger ce cadavre éparpillé, il lui est très facile de se séparer d’un bras ou d’une jambe.

Pour arrondir ses fins de mois, il travaille comme animateur au Zombieland Club, dont il est également devenu le délégué syndical.

Une gueule d'ange haute comme trois pommes qui cache un esprit bien affuté...

Doté d'un sens moral vaguement douteux, Owen sait très bien jouer la comédie.

Owen, mort à 8 ans, a été relevé par son père, à l'époque jeune vodoun très affecté par la mort de son unique enfant. Cependant, les années passant, les choses devinrent de plus en plus compliquées entre la famille et le garçon qui n'en était plus vraiment un. Le malaise grandit jusqu'au jour où Owen décida de s'enfuir de chez lui et de ne plus revenir. Son père malgré le lien qui aurait pu lui permettre d'éviter cette fugue ne l'en empêcha pas.

Il voyage depuis lors, se faisant héberger par des familles ignorantes plusieurs soirs de suites, parfois plusieurs semaines ou plusieurs mois, en se faisant passer pour un enfant égaré. Son teint frais lui permet de passer sans mal pour un norme. Ses gestes maladroits lui servent à parfaire son numéro d'enfant perdu.

Il vit aussi de petits larcins, réalisés dans les foyers qui l'hébergent et qu'il revend en tout anonymat sur des marchés aussi bien famés que ceux du Walhalla, lourdement habillé pour cacher son identité, cherchant à se faire passer pour un nain plutôt que de laisser son identité d'enfant zombi s'éventer de la moindre façon.

Laissée libre (voir avatar)

Laissé libre, dans la très grande majorité. Il n’était pas pro-Outre de son vivant, restant ouvertement mal à l’aise à l’évocation des pouvoirs magiques de son frère, des suceurs de sang et autres bêtises. Ce qui ne l’a pas empêché de continuer à apprécier et aimer son frère.
Son changement de condition (de Norme à Zombie) peut avoir altéré sa façon de percevoir les choses.

Erasme (nom négociable mais si possible à remplacer par un nom au moins aussi étrange qu’Artémis) est né en Grèce en 1960. Son père était un Wiccan, mais ayant renié sa foi bien avant la naissance de ses garçons, ces derniers ne le découvrirent que lorsque Artémis commença à manifester des dons pour la magie. Au court de l’hiver 1980, ils perdent leur mère, emportée par la maladie. Cyan disparaît quelques années plus tard, décidé à développer l'héritage Wiccan que son père lui refuse.
La vie d’Erasme est à partir de là laissée libre. Les relations avec son frère sont excessivement minimes pendant très longtemps. Leur père meurt en 2010 (aux alentours de la Semaine Noire), et Artémis ne se présente ni durant ses derniers jours, ni à son enterrement.
Ils ne reprennent contact qu’aux alentours de 2021, lorsque Cyan retourne en Grèce. Erasme est terrassé par la maladie en 2028 environ, Artémis revenant à son chevet et cherchant pendant un mois à produire un schéma magique pour lui sauver la vie.
Les conditions de la résurrection d’Erasme et de son arrivée à la Nouvelle Orléans sont laissées libres. Sa vie familiale tout autant, bien qu'il soit fortement encouragé qu'elle fut (et/ou soit encore) bien remplie.