Identification Emploi: Sage-Femme/Médecine naturelle Age apparent: 32 ans Dangerosité: (15/30)
Sujet: Solvejg Arnfinsdóttir Ven 19 Avr - 5:50
État Civil
Décline ton identité
Nom : Arnfinsdóttir
Prénoms : Solvejg Ulrika
Espèce : Wiccan
Âge : 45 ans Âge apparent : 32 ans
Date de Naissance : 15 mars 2010
Situation de Famille : « Veuve », mère d’une petite fillette de 5 mois, Erika Ells Arnfinsdóttir
Profession / Activité : Sage-femme, surtout, mais médecin naturel en général. Si les soin de maternité sont son principal gagne-pain, elle soigne tous les maux pour lesquels ont vient la voir.
Morphologie
Et donc à quoi tu ressembles ?
Taille : 6’1’’ (soit 1,85 m) Poids : 170 lbs (77 kg)
Corpulence : Solveig est assez costaude, sans avoir l’air d’une nageuse olympique soviétique… Disons seulement qu’elle a des épaules plutôt fortes et des traits du visage francs, sans pour autant manquer de féminité. Elle reste plus « longue » que « large », même si son accouchement plutôt récent lui laisse encore quelques rondeurs abdominales. Ce n’est pas une personne particulièrement athlétique, mais elle passe le plus claire de son temps debout, à marcher, cueillir, soigner, aider, bercer… Et ça parait.
Couleur de cheveux : Noir d’ébène
Couleur des yeux : Bleu, très vif
Allure générale : Vite comme ça, Solvejg peut sembler intimidante, avec son regard froid et calculateur et sa carrure. Ce n’est pas une personne particulièrement souriante au naturel, mais elle le deviendra bien vite si quelqu’un l’approche pour lui parler… sauf si c’est un idiot… Solvejg déteste les idiots. Sinon, Solveig semble une fille bien simple et peu soucieuse de l’avis des autres. Elle a souvent les cheveux attachés, signe de ses activités constantes. Erika, qu’elle traîne pratiquement partout avec elle, doit probablement aider à adoucir son image et si quelqu’un ose faire un commentaire quand elle la nourri à son sein, il se méritera probablement le regard le plus glacial auquel il aura jamais fait face.
Allure vestimentaire : Dans la vie de tous les jours, Solvejg n’a pas vraiment de style… Tantôt en jeans, tantôt en robe, tantôt en habit, elle aime les couleurs froides, sombre ou non. Elle ne raffole pas particulièrement du pastel. Elle opte le plus souvent pour des matières naturel : lin, coton, soie à la limite s’il faut faire plus chic. Elle ne porte pas vraiment de bijou, hormis une « alliance » à l’annulaire gauche et une amulette à son cou. Au travail, elle s’habille de façon professionnelle, mais toujours décontracter. Les gens qui viennent chercher les services d’un médecin traditionnel sont souvent rebuter par le look médical classique, sarreaux et compagnie. Dans des contextes plus rituels, Solvejg peut aller de la robe de mage à la nudité toute simple, dans la plus pure tradition Wiccane. Quel meilleurs moyen de connecter avec la nature, donc avec la Déesse et le Dieu Cornu. Bien sûr, depuis qu’elle vit en Amérique, se mettre à poil dans un champ est un peu plus difficile, avec la grande ville et ses autorités jamais bien loin…
Caractéristiques magiques
Sparkles !
Potentiel de base : BON Appartenir à une famille prestigieuse n’a pas que du bon… Si on n’excelle pas dans la magie, on n’est pas grand-chose. Heureusement pour les Arnfinsdóttir, nés d’un père et d’une mère doués en magie, les chances de tomber en disgrâce étaient mince et la magie coule dans leurs veines assez naturellement. Solvejg ne fait pas exception à la règle. Monitoré depuis l’enfance, elle a rapidement été encadrée pour maîtriser et exploiter au maximum ses capacités magiques. Influence familiale : FAMILLE PRESTIGIEUSE (mais régionale) Les Filles de Sigrunn sont peu connue en dehors de la Scandinavie, voire même des Îles Féroé. La famille de Solvejg, du côté de sa mère, est pourtant primordiale dans la petite archipel. À l’époque pré-chrétienne, il n’était pas rare qu’hommes, femmes et même enfants viennent chercher secours et conseils chez les ancêtres de Solvejg. Bien entendu, la chrétienté a vite fait de tout faire chavirer pour la famille et les plonger dans l’ombre, du moins, au point de vu des Normes. La transmission de ses savoirs et prestige se faisant de façon matrilinéaire, contrairement au nom de famille selon les lois féroé, il est devenu difficile de mettre un nom sur cette famille prestigieuse, alors pour faire simple, elle se fait appeler « Les Filles de Sigrunn », du nom de la première Wiccane connue de leur lignée. Entraînement: CONFIRMÉ Comme indiqué plus haut, les Filles de Sigrunn n’ont pas beaucoup de patience pour les Wiccans (et surtout les Wiccanes) empotés, alors il n’est pas rare, et même plutôt commun, qu’un Wiccan soit complètement formé avant l’âge de 18 ans. De même, on attend d’eux qu’ils soient capables de contrôler leurs émotions, donc leurs sorts, à cet âge. Solvejg a donc subi un entrainement rigoureux dès que ses premières capacités magiques sont apparues. À maintenant 45 ans, elle est donc bien formé. Foi : FORTE Les parents de Solvejg lui ont transmis une foi très forte pour la Wicca. Il n’existe pas un rituel que Solvejg ne pratique pas : soltiste d’hiver, soltiste d’été, Sahmain, Pentecôte, Pâques… peu importe leur abâtardissement chrétien.
Couleur de l'aura étherique : Indigo Couleur de l'aura astrale : Verte En plus de son naturel avec la magie minérale et de son certain talent pour les incantations de l’école celte, Solvejg peut également pratiquer la magie des runes, l’alchimie et la magie rituelle.
Psychologie
Dans ta tête.
Défauts : Malgré le fait qu’elle soit incroyablement compréhensive et calme avec ses patients, Solvejg est très impatiente. Elle déteste perdre son temps et elle déteste encore plus que le lui fasse perdre. Attention toutefois, cette impatience lui vient de sa diligence et son perfectionnisme à faire les choses, donc ça ne veut absolument pas dire qu’elle fonce à corps perdue et sans réfléchir. Seulement, si quelqu’un ne sait pas ce qu’il fait, elle inclut, elle préfère qu’il ne s’en mêle pas. Par conséquent, Solvejg n’est pas non plus une très grande improvisatrice quand on sort de ses domaines de prédilections. Si elle pensera rapidement à une formulation de contre sort au besoin ou à la meilleure façon d’empêcher une mère hémorragique de se vider de son sang en attendant l’ambulance, elle n’est pas du genre à penser facilement à un moyen d’improviser un outil pour réparer son armoire ou à théoriser sur les pourquoi du comment que le four ne fonctionne plus. Ce manque d’improvisation fait également d’elle une bien mauvaise professeure, puisqu’elle est du genre à répéter la même explication 10 fois, sans en changer. En espérant qu’Erika changera ça en elle. Parce que c’est ce qu’on lui a appris, Solvejg à une certaine intolérance à la médiocrité. Si tout le monde est égal dans son cabinet en termes de soin, elle n’hésitera pas à penser en mal de la femme sans le sou qui vit au crochet de la société sans faire le moindre effort pour se sortir de là. Pas plus qu’elle ne s’empêchera de regarder de haut le Wiccan médiocre qui ne sais faire que de la Magie des Lignes de façon improviser et instinctive ou le jeune qui fait n’importe quoi avec ses Mots. Pour Solvejg, l’âge et le talent valent bien plus que le charisme et, à moins d’être TRÈS talentueux, elle estime qu’un plus jeune lui devrait automatiquement respect. Cela vaut aussi pour elle et, face à un mage plus vieux, plus expérimenté ou plus fort, elle ne se fera pas prier pour se tasser dans un coin et le laisser parler.
Qualités : Parce qu’elle n’aime pas sortir de ses sentiers battus et improviser, quand Solvejg fait quelque chose, elle le fait bien. Elle s’informe, lit, pratique et révise plusieurs fois avant d’entreprendre quelque chose de nouveau… si le temps le lui permet. Une fois qu’elle connait mieux son domaine (comme la médecine naturelle ou la Magie Minérale) elle devient plus prompte à improviser si besoin est… mais seulement si besoin est… Pareillement, parce qu’elle n’aime pas improviser dans des domaines qui l’échappe, Solvejg est une éponge à savoir. Elle lit beaucoup, apprends autant de chose qu’elle le peut, dès qu’elle juge que ça lui serait utile. Son évier se bouche une fois? Après avoir fait venir le plombier, elle tâchera d’apprendre comment le réparer elle-même. Elle croise une patiente avec qui la communication passerait vraiment mieux en mandarin? Elle va apprendre la langue, du moins les bases nécessaires à son travail. Elle aura une rage de poulet shish taouk? Elle consultera différents recettes au four pour en faire elle-même en mangeant celui commander au libanais du coin (très utile pendant la grossesse). Elle veut juste en apprendre le plus possible pour se débrouiller seule. Malgré sa grande impatience, Solvejg à bon cœur. Elle est très attentive au besoin de ses patients et de ses proches et restera avec eux pour tout le temps dont ils ont besoin. Personne fidèle, il lui arrive encore de prendre des nouvelles de ses premiers patients, dont les enfants ont déjà plus de 15 ans, juste pour savoir comment ils se portent. Bien sûr, elle ne le fait qu’avec les patients intéressés, ce qui forge la majorité de ses amitiés. De même, elle est retournée plusieurs fois à Valúr… enfin, avant que la Grande Révélation ne rende les rendent les passages douaniers ridiculement pénibles. Maintenant, elle se tourne plutôt vers les logiciels vidéo pour prendre des nouvelles de la famille…
Croyances : Solvejg croit très fortement en une discipline de fer pour des résultats désirables (lire ici, excellent). La magie est un don qu’il fut utilisé avec sagesse et ceux qui font n’importe quoi avec devrait être châtié… ou, au moins, rééduqué. Elle croit fortement en l’amour… et c’est pour ça qu’elle a si mal…
Religion : C’est une fervente priante des dieux wiccans. Elle pratique tous les rituels qui leur sont vouer avec une grande dévotion.
Goûts : Elle aime particuliairement les fruit de mer et l’agneau, mais est ouverte à tout. Elle déteste les kiwis. Elle est plus salé que sucré. Pour ce qui est de la culture, il est difficile de l’intéresser aux choses populaires. Elle préfère de loin le théâtre classique, les films d’auteur ou les vieux classiques et les grands romans aux télé-réalités, films de super-héros et disque de pop.
Talents, savoirs notables : Solvejg n’a pas de talent particulier. Sa voix est très jolie pour chanter, mais elle n’est pas digne d’un concert pour autant. Elle est très rigoureuse et sait beaucoup de chose sur tout puisqu’elle adore lire et apprendre dès qu’elle ne sait pas quelque chose.
(+) Espoirs, buts, rêves : Pour l’instant, Solvejg ne veux que refaire sa vie. Elle attendra de voir où cela la mène. Loin d’être du genre à simplement suivre le courant, elle n’a rien de prévue en tête sinon de s’assurer que Erika aillent une belle vie…
(-) Angoisses, regrets, phobies : Le plus grand regret de Solvejg est d’avoir laissé Eric partir dans cette dernière mission…
Si on vous parle des Outres, vous réagissez comment ? Plutôt neutre… elle à une légère dent contre les métamorphes, mais elle sait faire la part des choses et, au fond d’elle-même, elle sait différencier les assassins de son mari des autres… Et votre sentiment vis à vis des Normes ? Il y en a surtout des bons, mais ils en existe des mauvais. Solvejg n’est pas là pour les condamné, mais elle protégera les plus faible.
Êtes-vous satisfait de votre existence ? La vie est dure, mais il ne faut pas l’abandonner pour autant?
Possibles évolutions ou objectifs futurs : On verra?
Particularités éventuelles : Elle est plutôt froide quand on ne la connait pas? Elle est étonnement maternelle avec les plus faibles…
Ses yeux peuvent être captivant pour certains…
Relations sociales
Présente nous tes potes !
Un familier ? Noth est un grand corbeau femelle de 7 ans, fille de Gandur, le premier familier de Solvejg, mort après 28 ans de loyaux services. Elle et son père appartiennent plus précisément à l’espèce Corvus Corvac varius, une sous-espèce propre à l’Islande et aux Îles Féroé, un peu plus petite que l’espèce mère et possédante des plumes blanches au col et au bout des ailes. Noth est apprivoisée, pratiquement domestiquée. Elle chasse et patrouille et fais ses affaires, mais comme de nombreux corbeaux, même sauvages, elle est protectrice de celle qu’elle considère comme une amie… et une source fiable de nourriture et de gratouille. Elle ne se tient jamais bien loin et, comme son père avant elle, prend soin de niché près de la maison de Solvejg et de la suivre un peu partout où elle va. Elle répond à un bon nombre de signaux, comme des ordres, vient quand on l’appelle et attaque quand Solvejg est attaqué. Elle aime aussi jouer les imitatrices. Si vous passé devant la maison de Solvejg, il y a de forte chance que vous entendiez un chat miaulé, un enfant rire ou de l’eau couler, sans jamais voir aucun de ses éléments… Un meilleur ami ? Elle a certains très bons amis, peu à qui elle confierait beaucoup, mais son meilleur ami était Eric…
Relations particulières notables : Deux bons amis laissés à Boston. Et, bien sûr, sa fille.
Antécédents
C'est le moment de raconter sa vie
Quelque chose à dire sur votre Famille ? La lignée de Solvejg est très ancienne et très documentée. Les légendes de ses ancêtres ont traversé les âges à travers la bouche de ses aïeules, depuis leurs débuts très respecté jusqu'à leur vie en secret. Étant née peu de mois après la Révélation, Solvejg n'a jamais vécue dans le secret. Sa famille, autrefois respectée dans leurs Îles Féroé natales, a été harcelée toute son enfance. Malgré tout, la patience de ses parents lui ont rapidement enseigné que la peur dont était victimes les Normes ne devait pas être punie. C'est donc dans l’impassibilité que Solvejg traversa l'adversité qui avait marqué ses premières années de vie. Sa sœur aînée étant l'héritière du "domaine" familial, Solvejg ne ressentait pas les même attaches à ses terres qui n'était, pour elle, rempli que de souvenir de saccages de biens privés, pierres lancées et insultes bavantes sur les lèvres retrousser par une haine mal justifiée... Elle alla donc étudier la naturopathie et l’apothicairie classique en Amérique, avant de s'y installée définitivement, son corbeau, Noth, pour toute compagnie. C'est en Nouvelle-Orléans qu'elle veut maintenant ouvrir clinique, espérant que la Grande Révélation n’effraie pas trop ses patients...
Événements de votre passé qu'il convient de connaître : Valúr
Village au nord-ouest de l’île principale des Féroé, Valúr est pratiquement le royaume des Wiccans de l’archipelle. Avec une population de 64 personnes en 2053, 67% de ce chiffre étant des Wiccans et, de CE chiffre, 84% provenant des filles de Sigrunn, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, chez les Wiccans féroïens, ce village est appelé le « Domaine de Sigrunn ». Les Filles de Sigrunn y font la loi et l’ordre chez les Wiccan, fournissant au village leur Grand Mage depuis des générations, à 4 exceptions près en plus de 1400 ans (mais bon, il s’agissait de mari et de cousins éloignés des « Sigrunnis » alors ça va). À l’échelle Norme, les Wiccans de la région ont toujours régner en maître sur le village, élisant le maire parmi les leurs et se protégeant par des lois des différentes mesures prise au Moyen-Âge pour nettoyer l’Europe de la « sorcellerie ». Ce qui ne les empêchait pas de se faire discrets. Pour tous les Normes concernés, les « Sigrunnis » étaient simplement les riches de la place, les fondateurs de Valúr et, conséquemment, les seigneurs de l’endroit. Bien sûr, on s’étonnait toujours de voir la fille du seigneur ressembler tant à sa mère et d’apprendre que sa femme était morte à l’âge vénérable de 103 ans… mais bon, il faisait bon vivre à Valúr, où la récolte n’était jamais perdu, les poissons abondants et le temps bon. Alors, comme le conseillait le prêtre, on ne posait pas trop de question… Tout cela à changer après la révélation. Quand les Normes apprirent l’existence des Outres, ils comprirent bien vite que le fils du défunt maire était le maire lui-même, seulement avec les cheveux teint et un sort d’illusion derrière la cravate. Malgré l’évidente bienveillance des Wiccans envers leurs voisins Normes, et ce depuis des siècles, les Normes furent rapide à chasser et maudire les Wiccans de la place et c’est simplement par crainte de représailles terrible qu’il ne mire pas le domaine des Sigrunnis à feu et à sang… Bien vite, les Wiccans de Valúr se dispersèrent dans l’archipel et au-delà et il ne resta plus à Valúr que le noyau des Filles de Sigrunn et leurs conjoints, fils et frères. Le village se rempli bien vite de « courageux » Normes, désireux de contrôler les sorciers par leur nombre. Soudainement, les 11 Sigrunni et leur proches n’était plus qu’une minorité, malheureusement bien visible, dans le village. C’est ce contexte qui vit naître Solvejg, troisième enfant et deuxième fille de Brynhild Johanna Pálsdóttir et Asmund Harald Arfinsson, tous deux Wiccans de talents, et nièce de la Grande Mage Helga Elin Pálsdóttir. La notoriété de la petite ne lui apporta pas que du bon… bien loin de la même. À l’école, avec les Normes, elle passait le plus clair de son temps à se cachée dans les toilettes pour éviter de se bagarrer avec ceux qui l’intimidait depuis la CPE. Quand elle en venait au poing, les professeurs la punissaient invariablement plus que ceux qui l’avaient provoquée, ouvertement ou inconsciemment biaisés par leurs différences d’espèce… Sa revanche se faisait dans les notes. Déterminer à être meilleure que tous ses détracteurs, Solvejg passait le plus clair de son temps libre à étudier, surtout pour les examens, les dissertations et présentations trop souvent sujette aux jugements de valeurs de ses professeurs Normes. Avec acharnement et un caractère de chien, qui n’hésitait pas à remettre les professeurs à leur place et faire évaluer ses travaux ailleurs aux besoins, elle réussit à graduer du secondaire avec l’une des meilleures moyennes de sa cohorte. Coté magie, ses parents étaient aimants, certes, mais très strictes. Quand, à l’âge de 14 ans, elle montra enfin ses premiers signent de magie, sa famille, soulagée, entrepris aussitôt le rigoureux apprentissage qui visait à en faire une Wiccanne accomplie avant 20 ans. Elle avait été tardive à atteindre la « pubertée magique » et sa famille ne manquait pas une occasion de le rappeler, avec inquiétude d’abord, à la blague après qu’elle se fut enfin mise à l’entrainement. Et, pour célébrer l’évènement, on lui donna Gandur en familier. Malgré tout, cela ne manqua pas de marqué la jeune wiccanne et elle s’acharna dans l’étude de la magie avec le même dévouement que pour les maths et la littérature. Malgré son départ lent, elle eut tôt fait de rattraper son grand frère, se débrouillant déjà avec la Magie Minérale, dominante dans la famille, a 17 ans, les Incantations à 19 ans et la Magie Rituelle à 20 ans. La voix envoutante de Solvejg avait de quoi impressionner et même sa tante Helga, jusqu’alors seule Incantatrice du village, se dit impressionné par les chants de sa nièce. C’est Helga qui lui apprit à jouer du bodhrán, un instrument celte, certe, mais leurs incantations étaient issu de l’École Celte de toute manière… Après le secondaire, Solvejg entreprit des cours pour devenir infirmière, puis bifurqua vers l’apprentissage du métier de sage-femme. À l’époque, vers 2030, les sentiments des Normes s’étaient adoucis envers les Wiccans. Tout le monde dans le village de Valúr avait bien dû admettre que la famille de Solvejg avaient été des saints face à toutes leurs haines et méchancetés et qu’ils n’avaient jamais usé de magie pour leur faire du mal. Entré à l’université n’avait pas été difficile pour la jeune féroïene. Son diplôme de sage-femme en main, Solvejg retourna dans son village, où les Wiccans revenaient s’installer peu à peu. Mais, quelque chose manquait à la jeune wiccanne… Sa sœur, Nora, étant celle qui hériterait du Domaine, Solvejg n’avait aucune raison de rester à Valúr, si ce n’est la présence de sa famille. Elle décida donc de partir en Amérique, parfaire ses études et voir le monde un peu…
Les premiers mois en Amérique furent à la fois plus durs et plus facile que sa vie à Valúr. Si Solvejg parlait bien l’anglais, elle n’était pas habituer de l’entendre parler à tous les jours. Loin de sa famille et de ses repères, habitué aux « grandes » villes de 5000 habitants, elle se senti un peu étourdit dans les villes de plusieurs millions d’habitants, tous étrangers, qu’étaient New York et Boston. Toutefois, l’avantage, c’est qu’ici, personne ne savait qu’elle était wiccanne. Il n’y avait pas besoin de cacher ses origines, pas besoin d’ignorer maladroitement les questions malaisantes à la « Alors, c’est vrai que vous dansez nues sous la pleine l’une en vous aspergeant de sang de poulet? » ou, pire encore « Je peux venir voir? Juste pour comprendre hein! »… Non, ici elle était juste Solvejg et le truc le plus intrigant chez elle était son nom et son accent. Elle eut un peu de mal à localisé les Wiccans de Boston, pour se refaire une triade entre autre, et se retrouva un peu choqué de l’accueil qu’on lui fit quand elle se présenta enfin à une rencontre de Wiccan. Habituée à l’habituellement familiarité des Wiccans féroïens, elle ne s’attendant pas a autant de méfiance et froideur de la part des siens bostonien. On lui fit passer un vrai intérrogatoir : qui était-elle? Pourquoi était-elle ici? Comment gagnait-elle sa vie? Pourquoi sage-femme? Pour les Normes aussi? Qu’en pensait-elle, justement, des Normes? Elle sembla se fermer bien des portes quand elle mentionna qu’elle et sa famille utilisaient leurs pouvoirs pour aider les Outres et les Normes depuis des siècles… Elle quitta la réunion avec un goût amer en bouche… mais au moins quelque nom de personnes intéressées à la revoir en privé… Elle finit par former sa triade avec une jeune roumaine, Maria Iov, et un bostonien pour qui les Incantations étaient l’affinité naturelle, John Brown. Les deux devinrent bien vite ses seuls amis à Boston, mais des amis très proches. Les années passèrent et Solvejg, alors âgée de 27 ans, avait terminé ses études, ouvert une clinique de soins naturels en banlieue de Boston et s’y faisait tranquillement une bonne réputation professionnelle… et c’est là qu’Eric Ells déboula dans sa vie. Littéralement. Elle était en train de fermer sa clinique, située au rez-de-chaussée de sa maison, quand on frappa en panique à sa porte. Croyant que c’était l’une de ses patientes qui avait commencé son travail plus tôt que prévue (aucune de ses patientes n’étaient dû avant encore trois semaines), elle ouvrit la porte sans faire plus attention. Un homme la bouscula pour entrer à l’intérieur, fermant la porte derrière lui. Croyant à un voleur, ou pire, Solvejg attrapa son Athamé, qu’elle gardait toujours près d’elle, et le pointa vers l’inconnu. Celui-ci, la regardant enfin, eu tôt fait de lever les mains : - Oh là, je viens en paix - Drôle de chose à dire à cette heure du soir avec cette attitude, réplica-t-elle, nullement convaincue.
Avant qu’il ne puisse répondre, on cogna à sa porte avec empressement. N’aimant pas la violence de l’acte, elle fit peu de cas de l’homme qui venait de disparaitre plus loin dans sa salle d’attente et ouvrit la porte. Voyant un groupe d’hommes à l’air encore sauvage devant elle, des Métamorphes sans doute si on se fiait aux crocs de certains et aux yeux d’autres, elle prit un air grave. L’absence de femme venait de supprimer la possibilité d’une patiente en état d’urgence…
- Je peux vous aider? - Désolée madame, répondit l’un d’eux, qui s’était calmé en la voyant. Nous cherchons un homme. Environ grand comme ça. Cheveux brun. Manteau de cuir noir. Vous ne l’auriez pas vu? La description, assez vague, répondait toutefois bien à l’homme qui venait de débarquer chez elle. Malgré tout, elle ne sait par quel instinct, la petite hermine la regardant avec sérieux depuis l’arbre derrière les métamorphes y était probablement pour quelque chose, elle s’entendit répondre : - Non… je n’ai pas vu un tel individu. - … Bon… faites attention quand même, c’est un membre des T.P.H. À ces mots, Solvejg hésita un moment à vendre l’homme qui venait d’entrer chez elle… Elle n’avait pas envie d’avoir des ennuis… mais, cette hermine…
Elle leur mentionna une dernière fois qu’elle garderait l’œil ouvert et ils prirent leur départ. En fermant la porte, elle senti quelque chose frôler sa jambe et, baissant les yeux, elle vit la petite bête brune se faufiler dans l’entrer et filer vers la salle de consultation, probablement pour retrouver son maître. Soupirant, Solvejg verrouilla sa porte et se dirigea vers son bureau. En suivant l’hermine, elle retrouva l’homme entrain de flatter la bête d’une main distraite alors qu’il marmonnait, un objet dans l’autre main. Après un moment, il leva les yeux, bleu et brun se rencontrant avec une étrange intensité alors qu’il changeait l’objet, un collier, de main. L’air était rempli d’une énergie que Solvejg connaissait bien. Loin d’être du genre à exposer inutilement l’évidence, elle garda pour elle sa surprise quand elle vit l’homme, le wiccan, appliqué le pendentif à une lacération sur son épaule qui se referma aussitôt. Après avoir remis son collier, il se leva, pratiquement aussi grand qu’elle, bien que beaucoup plus svelte, et s’avança avant de lui tendre la main.
- Je savais que je pourrais me soigner en toute quiétude ici, merci. Eric Ells en passant. Sans lui prendre la main en réponse, Solvejg le toisa avec sévérité. - Pourquoi ces métamorphes vous prenaient-ils pour un T.P.H.? Rétractant sa main, Eric eu l’air un peu perplexe. - Je ne peux pas vraiment en parler, mais je jure que je ne le suis pas… - Évidemment, un Wiccan T.P.H. serait vraiment absurde, mais ce n’étais pas ma question. - Écoutez, je ne peux vraiment pas en parler, mais je fais ça pour le bien des Outres, je le jure.
Peu convaincue, Solvejg laissa malgré la réponse pour ce qu’elle en était. Elle finit par lui tendre la main.
- Solvejg, et je n’ai pas la stupidité de donner mon nom complet à un autre Wiccan. Eric eu au moins la décence d’avoir l’air honteux. Elle le laissa se cacher dans sa clinique pour la nuit, à la condition qu’il ne quitte par derrière si une patiente arrivait, et le matin venu, il avait disparu. Solvejg cru bien ne plus jamais revoir cet étrange personnage dans sa vie, et se fut vrai pendant pratiquement un an, à un point tel que, un soir de novembre, quand il réapparut sur son portique, en pire état que la première fois, elle l’avait pratiquement oublié. Elle était techniquement encore ouverte, donc encore une praticienne en clinique naturelle pour une autre heure et, ce faisant, devait soigner les patients se présentant à sa porte. Soupirant, elle lui dit de prendre place sur la table d’examen et d’enlever les lambeaux qui lui servaient de chemise.
Sans un mot autre que ceux nécessaires pour l’examen et les soins, elle guérit le plus gros de ses plaies et laissa le reste pour guérir naturellement. Il demeura une nouvelle fois pour la nuit, avec les mêmes critères que la première fois et, comme alors, il avait disparu au matin. Leur manège continua pour les années qui suivirent, Eric et son caractère beaucoup plus extraverti finissant par tirer un semblant de conversation de la rigide scandinave. De patient et soignant, ils devinrent connaissances, puis amis. Eric était très expressif et potentiellement très bavard, mais il savait se taire quand il le fallait. Il savait engager les gens dans ses conversations et même la rigide Solvejg ne put se retenir indéfiniment de répondre à ses questions. Solvejg avait appris, depuis, qu’Eric travaillait pour un groupe qui tentait d’infiltrer les T.P.H. pour les détruire de l’intérieur. Quand il n’était pas une loque humaine, Eric était chaleureux et rayonnant, ce qui contrastait avec le caractère de glace de Solvejg. Glace qui fondait de plus en plus en sa présence jusqu’à ce qu’un jour, sans qu’elle ne puisse vraiment s’expliquer comment deux êtres aussi diamétralement opposés pouvaient en être arrivés là, elle ne se réveille avec la tête enfoncé dans cette folle tignasse brune, au lendemain de leur nuit de noce. Et cela lui tira un sourire heureux.
- Vous devez faire infuser une cuillère à thé et demi dans 100 ml d’eau, pas plus, pas moins. Vous le buvez à chaque matin… les symptômes devrait s’estomper d’ici 3 à 4 jours… Tout en expliquant ses soins, Solvejg se dandina vers ses pots pour préparer le mélange d’herbe qui saurait aider son patient avec son infection. Avec ces sept mois de fait, Solvejg ne pouvait plus espérer marcher normalement avant d’avoir accouché. Elle avait depuis longtemps pris congé de ses fonctions de sage-femme, ne pouvant s’imaginer être tirer du lit en pleine nuit et être accroupie pendant plusieurs minutes pour réceptionner un bébé alors qu’elle était elle-même gonflé par le sien. Eric et elle n’avait pas vraiment prévu d’avoir d’enfant si tôt après leur mariage, mais ils n’avaient pas vraiment attention pour l’éviter non plus. Ils étaient à cette étape de leur vie où ils étaient prêt à devenir parents, mais ne courrait pas après ces devoirs avec avidité. Solvejg avait eu une fausse couche un an plus tôt et, si cela les avait quelque peu démoralisés, ils n’avaient pas non plus eu le temps de vraiment se faire à l’idée de devenir parents pendant le mois et demi où elle avait porté cette première vie. La deuxième fois était arrivée aussi soudainement que la première et, comme pour la première, ils avaient tenté de ne pas trop s’attacher les premiers mois, mais maintenant que le bébé avait des noms possibles, une chambre et de l’énergie à revendre, à l’avis de Sol, il était difficile d’être plus exciter.
- Merci… vous ne trouvez pas ça trop pénible, seule à la maison comme ça? Ma femme m’aurait tué si j’étais parti en voyage d’affaire pendant une semaine comme ça pendant qu’elle attendait Ethan. - Ça va, c’est moi qui lui ai dit de partir. C’était important pour lui et ça va être sa dernière occasion de faires ces voyages avant longtemps. La visite se termina en discutant un peu grossesse et enfants et Solvejg ferma « boutique » après avoir salué son patient. Elle soupira. Elle s’était dit qu’elle continuerait de pratiquer jusqu’à 8 mois et demi… mais elle songeait de plus en plus à prendre congé plus tôt. C’est que les journées lui semblait de plus en plus longues…
Elle soupa bien vite et se prépara pour dormir. Et, juste comme ça, ça journée pris fin…
Elle fut réveillée au milieu de la nuit par un mauvais pressentiment. Une angoisse profonde, abstraite, trop réelle pour être les reste d’un rêve, mais trop étrange pour avoir été causé par une menace dans la maison… Elle se leva pour prendre un verre d’eau et c’est à ce moment qu’elle entendit Noth frapper frénétiquement à la fenêtre. Croyant à un danger finalement, Solvejg pris rapidement sont Athamé sur sa table de chevet et alla ouvrir la fenêtre à son familier. La vision qu’elle eut était assez étrange. Là, monté sur le dos de Noth, se trouvait Roxy, le familier d’Eric, visiblement épuisée. Solvejg compris aussitôt que quelque chose était arrivé à son mari. Sans plus y penser, elle s’habilla en vitesse et sorti, ignorant le froid pinçant des nuits d’octobre pour se précipiter au dehors.
Elle retrouva Eric, une Roxy morte de fatigue (ou l’était-elle plus?) dans les mains. Il avait été laissé là, lacérer comme un jouet pour chien, au bord d’une rivière. Solvejg ne pouvait tant pas y croire qu’elle n’eut même pas le réflexe de pleurer en se jetant sur lui. Caressant son visage en évitant ses coupures (mais comment, comment, il y en avait tant) elle se mit à murmurer des mots doux, espérant qu’il était encore vivant. On pouvait soigner les vivants, pas ramener les morts… enfin, pas quand on était wiccan…
- Eric? Eric, mon amour. Ça va, je suis là. Réveille-toi, je suis là. Je vais te soigner, ça va. Fini les missions après ça, d’accord? J’ai jamais aimé ça de toute façon… Tu es fort, aller mon chéri, ouvre les yeux... - Sol…
Le souffle était rauque, mais c’était bien son nom sur ces lèvres.
- Shhhh... Oui, c’est moi. Ne parle pas, reste tranquille, je vais te soigner
- Sol…
- Shhhh j’ai dit! Ça va aller, je vais t’aider!
Elle commença à incanter, les plus petites plaies se refermant. Elle jura, mais se tourna vers son sac. Foutu vision embrouillé! C’était quoi se bordel!
- Ça va, ça va! J’ai juste besoin d’un peu plus de… - Sol… arrête… tu sais… comme moi… Regarde Roxy… Elle est partie… J’ai pris… trop de magie… le triple retour… Il se tourna vers un arbre où l’on pouvait encore voir la suit qui s’était former autour d’une silhouette, son propriétaire maintenant disparue. Il regarda à nouveau les yeux, plus que jamais semblable à la mer, de sa femme.
- Je ne veux… pas… que tu t’acharnes… je veux… pas… pour mes derniers moments… - Arrête de dire ça! Je vais… - Sol! Il inspira et toussa - S’il-te-plait… Elle se tut, déposant la petite hermine sur son maître pour prendre sa main à la place. Ils se regardèrent un long moment. Sol parce qu’elle ne savait pas quoi dire et qu’elle cherchait encore comment le soigner, Eric parce qu’il était trop épuiser. S’entend son enfant bouger, elle posa la main d’Eric sur son ventre. Il regarda sa main être frappée et sourit.
- I love you…
Elle voulut répondre, mais sa voix s’étrangla en sentant la main d’Eric devenir lourde dans la sienne. Sa respiration rauque s’était éteinte et Sol était seule, seule avec son enfant qui frappait de plus bel, comme pour réveiller son père. Finalement, Solvejg pleura.
Maria la regarda avec sérieux. Depuis les très discrètes funérailles où seul ses deux amis et quelques membres de la famille Ells s’étaient présentés, Solvejg avait pris sa décision. Elle ne pouvait plus vivre à Boston, plus vivre dans cette maison qui était devenu celle de son mari et elle.
Serrant sa petite fille contre elle, elle regarda la valise et les deux boîtes à l’arrière de sa voiture. Un coffre contenant l’urne d’Eric était confortablement nichée entre les deux.
- Non, j’ai tout… Je veux repartir à zéro. Rien ne me sert de tout amener de ma vie avec moi. - Tu peux rester un peu encore tu sais. Erika est toute jeune, tu es sûr de vouloir faire des heures de routes avec un bébé de 4 mois? Elle regarda John. Le vieil octogénaire était beaucoup plus émotif que Maria à l’idée de voir son amie depuis maintenant plus 15 ans partir ainsi. La roumaine avait quelque chose dans son regard triste habituel qui laissait sentir à Sol qu’elle comprenait, qu’elle était passé par là. Elle n’osa pas lui demander si c’était pour une amante elle aussi, Maria avait réussi à refaire sa vie avec sa conjointe actuelle et cela lui donnait espoir de penser qu’elle avait elle aussi perdue un amour, mais su en trouver un autre. Un jour, peut-être, sans guérir, la plaie pourrait cesser de saigner. - Tu pourras nous visiter John… j’ai entendu dire que la Nouvelle-Orléans est superbe au mois de mars. Je te connais, tu seras surement heureux d’avoir pied à terre pour venir célébrer le mardi gras. - La triade sans toi ça ne sera pas pareil. Personne ne jouait aussi bien du tambour… - Plusieurs personnes joue mieux du tambour que moi. Le bostonien, n’y tenant plus, la pris dans ses bras, prêtant une attention particulière à la petite fille entre eux. Solvejg lui rendit vaguement son étreinte avant d’aller installer Erika dans son siège d’auto. Maria lui fit une accolade plus brève. - Appelle nous une fois arrivée et ne soit pas étrangère après. - Promis… Solvejg ouvrit sa portière, regardant une dernière fois sa maison où on voyait encore l’affiche « vendue ». Elle essuya une larme et inspira. Avec un dernier sourire à ses amis, elle entra dans la voiture et laissa 18 ans de sa vie derrière elle…
Quelques détails à savoir sur votre arrivée à la Nouvelle Orléans? Vous en êtes natif ? Solvejg c’est installé à la Nouvelle-Orléans pour refaire sa vie. Elle espère trouver dans cette ville chaude et festive la force de se reconstruire après le départ d’Eric. Elle s’acheta une petite maison coloniale pour en faire, comme à Boston, sa clinique au rez-de-chaussée et ses appartements au deuxième.
Vous serez souvent là avec nous ? Autant qu’une doctorante le peut! Comment avez-vous connu Voodoo Child ? En y étant déjà?
Avez-vous déjà un double/multi compte ? Lui. Sinon, je suis aussi Cordelia Ni Keefe Vous devriez réviser votre formule pour l’âge apparent, ça me semble « louche ». Âge - (20/2), pour un Wiccan de 120 ans, ça lui donnerais l’air de 110…
Vous attestez avoir lu le règlement, et vous engagez à l'appliquer à-la-lettre ? Eg svørji!
Dernière édition par Solvejg Arnfinsdóttir le Sam 27 Avr - 2:28, édité 3 fois
Ailin Dyce
Identification Emploi: Maîtresse Vampire, ex-strip-teaseuse aux Plaisirs Coupables Age apparent: 21 ans Dangerosité: (25/30)
Sujet: Re: Solvejg Arnfinsdóttir Mar 23 Avr - 12:31
Coucou /o/ gg pour ta fiche ! C'est très sympa ce que tu as fait autour de ta famille et des îles Féroé !
Juste quelques remarques qui n'empêchent pas ta validation :
"Maîtriser" la magie minérale en trois ans est impossible. C'est une des magies les plus longues à apprendre, il faut bien minimum dix ans de pratique régulière, même avec d'immenses facilités, pour commencer à pouvoir le revendiquer. Après ça empêche pas d'avoir un "bon" niveau comme pratiquant intermédiaire, c'est juste une question de vocabulaire mais je préférais repréciser !
Tu dis qu'à Boston Solvejg voulait "refaire" une Triade d'incantateurs. Ok mais si elle en avait déjà une au préalable, il faut voir que ce n'est pas possible d'en avoir deux en même temps. Soit le lien est brisé de la même façon qu'avec un familier (par la mort d'un de ses membres), soit tu as réuni ton ancienne triade pour un rituel de dissociation qui aura demandé la présence et l'accord des trois mages concernés. Ce rituel est probablement très délicat : on ne monte pas une Triade sur un coup de tête, même si une possibilité de la briser sans que personne ne meure existe, c'est le plus souvent considéré comme un acte définitif.
:) et du coup si c'est pas déjà fait tu peux changer le mot de passe du compte pour te l'approprier.
En plus des étapes listées plus bas pense à passer dans le QG wiccan !
Te voilà validée ! ;). Voici la marche à suivre maintenant. Tu dois :
Générer ta fiche d'identification dans ton profil (n'oublie pas de compléter ton profil avec les liens vers ta fiche, carnet mondain et inventaire).
Une fois la fiche générée, tu peux faire une demande de niveau de dangerosité, dans le topic correspondant de la section Carnet Mondain.
Tu peux te faire des sous et te faire aimer par le staff en votant pour nous sur les topsites. Pour savoir comment devenir riche, il y a un topic dédié dans la section de l'Inventaire.
Nous rejoindre sur notre serveur Discord si tu es intéressée par l'idée d'échanger un peu plus avec nous ! (Le serveur est aussi une bonne source d'informations).
Si tu le souhaites tu peux aussi créer ton profil Tour de Jeu en indiquant que tu joues chez nous.
Pense à t'abonner à la newsletter via ton profil (juré, on ne spam pas) et au topic suivant (obligatoire) : Le Journal du Forum. Cela te permettra de t'informer facilement des dernières nouveautés !
Et voilà ! Bienvenue sur The Voodoo Child
Solvejg Arnfinsdóttir
Identification Emploi: Sage-Femme/Médecine naturelle Age apparent: 32 ans Dangerosité: (15/30)
Sujet: Re: Solvejg Arnfinsdóttir Mar 23 Avr - 16:43
Oups! Je voulais pas faire du power play. Au contraire, je croyais que 3 ans de travails intensif c'était long XD Je vais changer ça.
Et, ouais, elle aurait brisé sa précédente triade en quittant les Feroe (elle comptait pas vraiment y revenir faire sa vie après tout)
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Sujet: Re: Solvejg Arnfinsdóttir
Solvejg Arnfinsdóttir
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